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Partir pour découvrir, revenir pour mieux s'ouvrir

Dernière mise à jour : 17 oct. 2023


Homme heureux sautant devant une haute haie verte


La trêve estivale se termine. Les cartables sont prêts, les chemises sont repassées et les crayons de papier sont affûtés.


C’est la rentrée !


À l’image des écoliers et écolières de France et de Navarre, chez Change Factory nous avons nous aussi retrouvé l’élan nouveau de cette année scolaire.


Est-ce que cette coupure vous a revivifié ?

Vous êtes-vous detoxifié digitalement ?

Avez-vous introspecté ou projeté ?


Et aujourd’hui, que pouvons-nous vous souhaiter ? Que pouvons-nous nous souhaiter ?

Étonnamment, autant je suis content de partir, autant je suis également content de rentrer.

J’aime l’idée d’avoir une page blanche et d’imaginer les aventures extraordinaires que nous allons vivre et les surprises qui nous attendent.


Lors d’un de mes échanges durant cette pause, on m’a parlé d’un mot gallois : « Hiraeth »

Vous le connaissez ?

Il sert à exprimer un sentiment difficile à décrire. La nostalgie de son foyer, le désir de rentrer chez soi, l’envie de trouver l’endroit qui parle à notre âme.

Et je le trouve très juste : on part loin pour découvrir / se découvrir et pourtant, on revient avec plaisir dans ce foyer que nous avons créé.


Du coup, quand on parle de lieu professionnel - hors remote bien entendu - je me demandais ce que je faisais pour le rendre plus accueillant, plus parlant à mon âme ? Vu le nombre d’heures que nous passons à notre bureau - sans prendre ce mal français qu’est la réunionnite aiguë - que faisons-nous pour l’habiter ? Que faisons-nous pour en faire un lieu propice à la rêverie créative ou au bien-être mental ? Quels petits objets nous accompagnent et nous aident à être plus nous-mêmes ?


Pour ceux qui me suivent, vous savez que je suis parti avec dans mes bagages, des poétesses modernes et talentueuses : Cécile Coulon, Lou Sarabadzic, Elvira Sastre ou encore Clémentine Beauvais - que j’ai complété avec bon nombre d’essais féministes : Virginia Woolf, Monique Wittig ou encore Deborah Levy.


Et bien, vous avez quoi ?


A défaut d’être dans un Ailleurs, j’ai pris une réelle claque sur la Beauté et sur des apprentissages essentiels, qui ont créé chez moi une réelle rupture de pensée.

Mais je reviendrais bien plus en détails sur ces apprentissages, dans de prochains articles.

Je vous partage cette citation de Deborah Levy, dans son essai « Le coût de la vie » que j’ai adoré :

« Se désengager de l’amour revient à vivre une vie dénuée de risque. A quoi bon vivre, dans ce cas ? »

Et je ne peux donc vous souhaiter qu’une rentrée pleine de de réussites, de rêves et d’amour !


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