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Le FOMO, ce mal du siècle


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Cet acronyme est passé dans le langage courant tant il décrit une réalité rencontrée par les jeunes générations. 


Vous l’avez ? Il s’agit du fameux Fear Of Missing Out, la peur de manquer quelque chose.


C’est que FOMO et connexion sont intimement liées : devant l’abondance perçue - notamment sur les réseaux sociaux - d’opportunités, de relations, de vies, d’événements, et autres sorties, notre cerveau buggue. 


Et si je manquais d’être au bon endroit, au bon moment, avec la bonne personne ? Et si pour en être sûr.e, je cherchais sur mes différents feeds plusieurs fois par heure (en moyenne 40 fois) ? 


A l’instar de ce dernier chiffre, les suivants donnent un aperçu de l’ampleur du FOMO : 


  • 69% des millennials font l’expérience du FOMO (Eventbrite)

  • Les activités qui créent le plus de FOMO auprès des millennials sont les voyages (59%), les soirées et les événements (56%), et la nourriture (29%) (Strategy)

  • 56% des utilisateurs des réseaux sociaux ressentent le FOMO (Mashable)


Et ce phénomène est largement pris en compte par les marques pour leurs campagnes, en misant sur l’urgence (cette offre finit dans une heure !), la rareté (il n’y en aura pas pour tout le monde !) et la caution des pairs (bonne notation des produits).


On en parle aujourd’hui surtout pour de l’achat de produit en BtoC. Mais dans une réflexion sur le futur du travail ça donne quoi..?


  • La peur de ne pas être invité.e dans la bonne réunion

  • Celle de ne pas être dans les bons cercles

  • La crainte de manquer l’opportunité qui va faire bousculer notre carrière


Ça donne une réflexion au croisement de la santé mentale, de l’inclusion, et de stratégie d’impact. 


Dans nos séances de coaching et d’accompagnement qu’on propose chez Change Factory, il y a un travail sur la priorisation et la gestion des énergies : c’est une bonne première piste pour se départir du FOMO.



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