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Rendre la position des femmes désirable dans le monde du travail


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Vous avez vu le film Le Jouet avec Pierre Richard ? On y voit cette image présente également dans Madmen (dont pour rappel, la tagline est quand même “Quand les hommes étaient des hommes et que les femmes portaient des jupes”): des salles de bureaux remplies de femmes dactylos qui tapent à grands bruits sur leurs machines à écrire, en essayant d’attirer l’attention des hommes/patrons.


Quand je parle des relations hiérarchiques / financières dominées par les hommes, une des réponses que j’entends souvent aussi bien par les femmes que les hommes c’est : oui mais les femmes entre elles ne sont pas tendres, elles font des histoires de nanas, les femmes c’est pas mieux leurs crêpages de chignons.


Regarde ces salles de dactylos où paraît-il régnait la rivalité et la haine. Et lors d’un coaching de dirigeante, où l’équipe (majoritairement féminine) était en tension, j’ai entendu : ça ne serait jamais arrivé avec des hommes. 


1ère réaction : tiens c’est vrai !


Oui, les femmes sont prises dans des rivalités (dont la définition est la concurrence entre personnes visant les mêmes objectifs/succès/avantages).


Elles sont prises dans des jugements d’être plus femme, moins femme, plus féministe ou moins, trop couverte, pas assez, trop attrayante, pas assez, trop puissante, pas assez…


2ème réaction : mais en fait pourquoi…?


Ben peut être parce que leur sort n’est pas enviable. Peut être que la position des femmes dans le monde du travail, n’est majoritairement pas désirable.


Quand on regarde les chiffres de l’étude sur l’égalité hommes/femmes du gouvernement, on remarque globalement (même s’il y a des évolutions notables!) que les femmes plafonnent, hiérarchiquement et financièrement. 


3ème réaction : on fait quoi de cette situation ?


Une fois qu’on a fait le constat que les femmes ne sont pas dans une situation désirable et que ça induit des comportements de rivalités (également observés entre les forces de travail d’origines diverses dans les usines dans les années 60s),


1/ on œuvre à s’entraider plutôt qu’à s’enfoncer (on tire pas sur l’ambulance): on reste nos meilleures alliées pour améliorer notre condition commune et globale


2/ on œuvre comme ça à rendre nos situations désirables par l’exemplarité et l’entraide

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